lopette12 lisatrav12

Je suis allé a l’aire de repos prés de chez moi vers 20h30 bien sur il ya personne  mais comme j’y vais a pied les gens qui arrivent en voiture, voyant aucun véhicule ne s’arrêtent  pas. J’ai amené avec moi mon gode  noir de 6 cm de diamètre. Chose importante  j’ai découpé au niveau des fesses et devant mon jean noir. La découpe part de l’entre jambe et remonte jusqu'à la ceinture au niveau de mes hanches ceci pour mes fesses et pour mon sexe la découpe part de l’entre jambe et remonte au niveau des poches (partie la plus éloignée du bouton) au ras de la taille du pantalon. De ce fait les jambes du pantalon tiennent seulement au niveau des hanches. Dessous je ne mets rien .c’est terriblement excitant de sentir l’air passer sur les fesses et le sexe. Pour le haut je mets  une parka assez longue, elle me cache les fesses et le sexe quand je traverse une partie de la ville a pied. Si les gens savaient !! Revenons à nos moutons. Donc aire de repos personne, je décide donc de jouer avec mon gode .je le mouille en le portant a ma bouche et je commence à faire des allées et retour contre ma pastille qui je le sens est impatiente de se faire pénétrer. Au bout d’un moment je tiens le gode droit et amène ma rondelle dessus lentement. Tout en descendant en douceur, mes fesses décrivent des mouvements circulaires, qui facilitent la pénétration. Ma rondelle étant élastique avale sans problème le gode. Étant au trois quart en moi je me relève le coince  sous mon sexe et je me mets a marcher,  la sensation est violente j’en ai des frissons. Puis je m’arrête,  m’accroupie pour le faire pénétrer un peu plus  me relève et marche de nouveau. Ce manège dura trois quart d’heure. Je mouillais du cul comme une salope de la moule. Après le retrait mon cul resta ouvert. Sensation très  agréable. Des phares de voiture  m’éblouirent je fis un mouvement de recul. Le véhicule se gara a cinq mètres  de moi, je mettais mis dans le petit hall du bâtiment des toilettes.  Un homme sorti et s’avança vers le bâtiment, entra sous le hall et se positionna devant moi. Malgré la pénombre  je vis qu’il avait sa main droite sur son sexe et se caressait. On s’est  regardé un laps de temps. Moi j’avais ouvert ma parka avec mes deux mains qui se trouvaient dans les poches .sur ma droite il y avait une route et quand les voitures passaient, malgré la haie, leurs phares éclairaient sommairement le hall. Ce qui permit à l’homme de me voir  presque a poil. La il n’a pas hésité il me saisit le sexe et le tira vers lui  il me traita de grosse salope, qu’il allait m’en faire baver. Sa main gauche me saisit le cou et me força  à me baisser, sa main droite remonta ma parka sur mes épaules et quand il vit que mon cul était dénudé,   celle-ci vient violement s’écraser sur ma fesse gauche. Je sentis un peu de chaleur .voyant que je ne me dérobais pas une pluie de claques tomba. Je peux dire que j’avais chaud au cul et que sous chaque coup je  me trémoussais de plus en plus. Ma respiration était saccadée : pas de doute j’aime ça. Il me fit tourner et me plaqua contre le mur, j’étais toujours baissé  c’est sa main gauche qui pris le relais, ca claquait et dans la nuit cela s’entendait bien. J’avais mal au fesses  je commençais  à lui dire d’arrêter. < Ce n’est que le début > me dit il. Il me cracha dans la raie et aussi tôt je senti un doigt me pénétrer .il entra sans problème. <t’es ouvert comme un livre, t’es vraiment une grosse salope > il me mit un deuxième, puis un troisième  <tu aimes ça tu remues ton cul comme une pute, chaque fois que je t’encule avec mes doigts > j’étais entrain de prendre mon pied et il le voyait bien. De sa main gauche il me saisit par le cou et porta mon visage au niveau de son sexe qui essaya de mettre dans ma bouche. Je me suis débattu, cela l’énerva  il n’avait pas pus se faire sucer. Il me releva et m’entraina dehors  et me plaqua sur ce qui devait être autre fois un lave main. Sa main droite me saisit le mamelon de mon seins gauche et me le pinça violement, puis il s’attaqua a l’autre puis revint au gauche cela dura un bon quart d’heure. Je vous jure j’aimais ça. Puis il m’écarta les fesses et me fouilla avec sa main  elle entra jusqu'à l’articulation du pouce a la paume de la main  .là, c’est moi qui l’encourageai à me défoncer le cul. J’écartais moi-même mes fesses. Quand je lui dis que j’allais jouir il me saisi la queue pour que je jouisse dans sa main. Chose facile a faire .mais je n’avais pas du tout pensé que ma semence il l’avait récolté pour moi. Il me saisit par le cou me releva ma tête et  plaqua sa main sur ma bouche et me dit d’une voix autoritaire <lèches salope > trop content je me suis exécuté a lécher  sa paume et ses doigts. Pendant cette séance de nettoyage il se branla et éjacula sur  mes fesses. Il me posa plein de questions  sur mes gouts si j’aimais être brutalisé je lui dis que je suis du genre passif et soumis et que ce n’était pas la première fois que je le faisais en extérieur il me remercia et me dit a la prochaine  <mardi  je serai là vers 18h30 si c’a t’intéresse  >et je suis rentré chez moi les fesses  en marmelade mais cela avait été très  jouissif

Bisous à tous

Bonjour   cela fait un moment que je ne vous ai pas narrer une  aventure. J’ai passé ces derniers temps une période très calme. Mais comme vous savez  on ne change pas du jour au lendemain.Voila. Cela c’est passé entre le noël et le premier de l’an. Je suis parti acheter du pain, c’était 18heures .la nuit était tombée .sur le chemin du retour, je passe devant l’aire de repos et j’aperçois des voitures. En un clic je décide d’y aller. Je gare donc ma voiture sur  un autre parking et j’y vais a pied .Il me faut 3 minutes pour y arriver.je m’avance vers le bâtiment qui abrite les toilettes et là dans l’ombre je vois 4 personnes. Je n’ai jamais vu de lumière que ce soit dedans ou dehors. les gens s’approchent de moi, me tournent autour puis vont se repositionner. Je reste 5 minutes puis je m’aventure vers la pelouse ou se trouve des panneaux du syndicat d’initiative .je soulage ma vessie contre la haie et je me colle contre un panneau. La lueur des phares de voitures qui passent a une vingtaine de mètres  m’éclaire. Etant de nature exhibitionniste cela m’excite. Un homme me rejoint, me dit bonjour et aussitôt se met a genoux devant moi, me baisse la braguette et me sort le sexe. Il se met à me sucer et ses deux mains, me font sauter le bouton et me baisse le pantalon. Me voila a moitie  à poil. Il me pompe le sexe, avale mes boules  et trouve le moyen de me dire qu’il adore mon sexe imberbe. Cela dura bien 15 minutes. Durant tout ce temps là un gars tournait autour de nous, il décrivait des cercles qui petit à petit se réduisaient.  En moi-même j’attendais le moment ses mains se poseraient sur mes fesses. Mais, la personne qui s’occupait de mon sexe se releva et  m’invita à le suivre vers le bâtiment des toilettes .il ouvrit celle des handicapés s’assit sur le <trône>  et repris sa besogne après m’avoir dit< fermes la porte si tu veux >  <non je laisse ouvert >il prit mes fesses avec ses mains  et m’imposa un mouvement de va et viens.  Je sentais derrière moi une présence, une haleine mentholée.  Puis le moment tant attendu est arrivé, deux mains me saisirent les hanches qui étaient en mouvement  et remontèrent vers mon torse.  Arrivées sous mes aisselles, elles prirent la direction de mes mamelons et les saisirent. Je bande des seins, cela est du a du pumping. Il me caressa partout, ses mains me malaxaient les fesses, les  écartaient et chaque fois je cambrais mes reins en arrière. Invitation de ma part. Puis il me m’embrassa les reins et se mit accroupi. Il m’embrassait les fesses, me les mordait  les écartait avec ses mains. Le moment sublime arriva quand, je sentis partir du bas et remonter vers mon fondement cette langue qui, une fois arrivé a mon trou, y pénétra sans forcer.je n’ai pas pu m’empêcher de m’extasier bruyamment.sa langue me pénétrait par a coup. Mon suceur  s’étant aperçu du manège me lâcha les bourses et enfila 2doigts sans ménagement qui me pistonnèrent. Ayant lâché ma queue il me traita de salope de garage a bite tout en me mettant 4 doigts .je senti monter en moi le plaisir et leur dit que j’allais jouir. Mon suceur accéléra le va et vient de ses doigts en moi  et remit ma queue dans sa bouche  et attendit ma décharge de foutre, qui  ne tarda pas avenir. Après avoir jouie je suis resté pantois  le pantalon sur les chevilles. La personne derrière moi me chuchotât  a l’oreille <tu en as mis du temps pour jouir cela a été un plaisir pour moi  > je l’ai remercié et il est partit. Je remerciais aussi mon suceur  qui s’empressa de me demander quand je repasserais .après m’être rhabillé je pris le chemin du retour