lopette12

Et oui j’y suis retourné  .je suis arrivé en fin de matinée il n’y avait personne.  Je suis descendu au sous sol  dans la dernière pièce.  Je me suis changé, je n’ai fait que mettre ma robe et ma perruque, les bas, porte jarretelle et mon petit haut féminin, je les avais mis chez moi.  La prochaine fois que je descendrais à Montpellier, je mettrai ma robe et ma perruque et bien sur mes  talons hauts pour conduire. Ce jour là il faudra que je fasse attention à mon style de conduite. Que se passerait-il si des gendarmes me contrôlaient ainsi vêtu. Revenons à nos moutons. Une fois prête, jattend. Personne ! je sors mon appareil a photos, mets le pied  et je m’autorise une petite séance de shooting. Je suis allongé sur la banquette quand un homme arrive et me regarde. Clic puis un flash, mon type se sauve. Il a du se dire encore un déjanté, je m’arrache. Je continue encore les photos. Puis je sors de mon sac mon gros gode black, le ventouse au mur et je commence à jouer avec, tout en prenant des photos. Mon type redescend et il me voit entrain de sucer mon gode, je le regarde et lui dit bonjour puis j’essaie de l’avaler, mais il est trop gros pour ma bouche. Il reste dans le couloir un petit moment et repart, peut être qu’il a peur  de faire photographier. Bon je remballe tout et décide d’aller faire un tour à l’étage. Putain, c’est vide. Je regarde mon téléphone, ce n’est que treize heures. Patience. Vers quatorze heures deux hommes viennent ensemble dans la salle, je suis  assise, ils restent debout  et commence à sortir leur queue. J’ai remarqué que le comportement des hommes  n’est pas du tout pareil lorsqu’il s’agit d’un autre homme, on va dire << normal >> et d’un travesti. Là il est sur de lui, il n’hésite  pas, il sort son sexe et te le met devant la bouche <<normal ? >>. Bref, je me retrouve donc avec deux queues devant moi. <<Je n’ai pas trop le temps >>ce qui veut dire tout simplement suce moi.  Je  prends donc son sexe et l’avale .je le pompe façon aspirateur industriel  et le résultat ne se fait pas trop attendre. Il pousse un petit hurlement, en retirant sa queue de ma bouche et évacue par deux jets sa semence. J’ai droit en guise de remerciement un énorme  sourire suivie d’un merci. Il remonte son pantalon et se sauve. Il reste encore le deuxième  qui a une trique d’enfer. <<Que veux tu >> timidement il me répond<<je peux te prendre>> ok tu as une capote ? Il ouvre sa main gauche et me la montre. Je me positionne sur la banquette  à genoux en me baissant au maximum car il n’est pas bien grand. Je me lubrifie un peu  puis il présente son mandrin. Un seul coup de rein et je sens ses couilles contre mes fesses.  Il  aime ça le mec, ses mains cherchent mes tétons et finissent par les trouver.Il me les malaxe, les tord, les étire. J’ai mal mais j’adore. Puis l’instant fatidique arrive, il se colle contre moi, tire sur mes tétons, et dans un gros soupir lâche sa purée.  Il se retire, me donne une tape sur mes fesses puis ôte sa capote. Il est heureux. Il est presque quinze heures  les gens devraient arriver. Je suis assise sur le canapé, entrain d’envoyer un message a un ami, quand un homme arriva. Il s’assoie prés de moi et plaque sa main sur ma cuisse.  Il est direct celui la. Il est métissé, il est beau. Il sort son sexe qui est droit comme un i. je le saisis et commence à le caresser. Sa main va droit au but, mes fesses. Il me force à me cambrer en levant de dix centimètre mon cul. Un doigt entre, suivi d’un deuxième. Je me trémousse, mon bassin commence des va et viens sur ses doigts  <<tu aimes ça  >>  je ne réponds pas mais je me laisse retomber sur ses doigts qui me pénètrent un peu plus. Je n’en peux plus. Je me couche sur lui et j’happe sa queue. Un vrai régal. Que demander de plus  la bouche et le cul remplis .je libère  sa queue, me lève  et je m’assoie sur lui, en lui présentant mes fesses. Il me saisit par la taille et m’impose un rythme. Je ressemble à un pantin, je le laisse mener la danse.  Dans la salle je vois que des gens sont là, ils regardent, certains  se branlent, les autres regardent seulement.   Je sens que sa   queue perd de la rigidité, je me lève, fait un demi tour et en restant jambes bien droites  j’abaisse mon torse  et ma bouche avale son sexe.  Je m’emploie à le faire durcir. Je suis donc plié, lesjambes écartées et le cul bien ouvert .je sens une main me caresser les fesses, je dandine mon cul en guise de réponse positive. Puis je sens quelque chose de dur, mais ce n’ai pas des doigts. Je passe ma main et saisis la chose, une bitte, je vérifie  quelle est couverte puis la pointe a l’entrée de ma grotte. Que du bonheur ! Une dans le cul, l’autre dans la bouche, il m’en manque deux pour mes mains. Mais le bonheur ne dure pas, il débande et se retire. Pas content, je me relève et je m’assoie sur les jambes du beau métis, attrape sa queue, la positionne et je me laisse tomber dessus. La c’est moi qui mène la danse, je suis en sueur si je pouvais y mettre ses couilles je le ferai. Vu ma position, je me dis en moi-même pourquoi ils ne bougent pas, une deuxième queue  serait la bien venue. Je bande et je m’astique la queue. Il m’immobilisa et grogna, il était entrain de jouir. On est resté quelque minute sans bouger, le temps de reprendre nos esprits. On papote  puis il me quitte en me donnant rendez vous vendredi.  Le spectacle étant  terminé, les voyeurs  ont disparus. Je me lève, arrange mes vêtements, me recoiffe et remet du rouge a lèvres. Je vais dans la salle  à coté  et je regarde le film. L’histoire : des mecs qui se font démonter la chatte a coup de poing. J’adore. Dans le couloir il ya du mouvement, ils s’arrêtent, matent puis repartent. Ils pourraient  assurer ces cons. Je m’en fous  il me reste le film. Un homme vient s’assoir a mes cotés, me regarde et regarde le film. <<Ça te plait >>   me dit il. Beaucoup, oui. La discussion s’établie, et de fil en aiguille je lui avoue que je l’ai déjà fait. Il m’a demandé de tout lui raconter. Me voila partie dans mes explications : la copine, les godes du petit au 8cm de diamètres  puis pour finir sa main  habillée d’un gant. Il commença  à me caresser la jambe puis sa main glissa vers mes fesses. Je soulève mon bassin pour lui faciliter la tache. Sa main est douce et pas un geste violent. Il commence par me chatouiller la rondelle avec un doigt, puis lentement me pénètre  en faisant des mouvements circulaires  de l’autre main il m’oblige à m’allonger  sur le canapé, la jambe droite posée sur le dossier. Je ne le  regarde  pas. Mes yeux sont rivés sur l’écran de tv. Lentement  mais surement je sens  ses doigt me fouiller le cul, me pénétrer. Je l’incite à continuer car  il s’est arrêté. Mets  la l !! <<n’ai pas peur ca passe >>.  Il fait  tourner sa main  de droite à gauche  tout en poussant. Puis arrive le seuil critique  ou cela force un peu, ou la douleur est plus forte et qu’une fraction de seconde après mon cul aspire cette main. Je me branle, j’ai la queue qui va exploser .il s’arrête. Je sens sa main qui bouge, ses doigts qui gesticulent. Tout cela provoque en moi un orgasme important .je jouie  dans ma main et porte aussitôt a ma bouche ma semence que j’avale .au niveau du cul, j’explose. Je lui dis de retirer sa main. J’adore ce moment ou l’orifice reste ouvert et que je sens couler cette cyprine. Je mouille énormément du cul. Il ya des femmes fontaines et bien moi  c’est le cul. Il s’essuie la main, me malaxe les fesses, me les embrasse et se lève. Avant de me quitter il me donne son numéro de tel. Je reste assit un moment, car j’ai les jambes en coton et mon cul qui < chauffe>. Dommage que personne n’ai  pas  assisté au spectacle.    je vais dans les toilettes, me déshabille et prend une douche bien chaude. Puis je revêts mes habits de mec,  souhaite une bonne soirée au boss en sortant. Ce soir je sens que je vais bien dormir et faire de merveilleux rêves. Des journées comme ça, je signe...  BISOUS A TOUS...

Dimanche 05 mai  je me  suis rendu au bord du Salagou  avec l’espoir de rencontrer du monde. Le temps était moyen, des nuages et des éclaircies. Mais il faisait quand même assez chaud.  C’était de bonne heure  à peine 14heures. J’ai rencontré peu de gens sur les berges et surtout à poil  on pouvait les compter sur les doigts de la main. Tant pis je continue. Arrivé sur le lieu choisi je me déshabille  et je m’étale sur ma serviette. Des que les nuages laissaient apparaitre le soleil une chaleur envahissait tout mon corps. Puis il faut que je bronze un peu, je ressemble à un cachet d’aspirine. Apres  une grosse demi-heure je sors de mon sac l’appareil à photos et prends quelques clichés de moi. Puis je sors un gode noir et je commence à me caresser avec. Ce qui devait arriver   arriva au bout de quelques minutes    il trouva le chemin de ma chatte et s’y engouffra  avec violence. Mon sexe ne resta pas insensible a cette pénétration et durci  rapidement.  Allongé sur le dos, j’avais replié mes cuisses sur mon ventre  pour faciliter la pénétration.  C’est ainsi qu’il me trouva.  Je le connaissais  il était du coin.  Il me dit qu’il y avait personne plus haut et que vu le temps, on ne verrait pas grand monde. Puis il se proposa de me branler chose qu’il fit. Je m’étais mis à quatre pattes car il me l’avait demandé. Je devais avoir l’air con, a quatre pattes avec un gode qui pendouillait au milieu de fesses.  Il continua a me goder pendant que de l’autre main, il s’employait a me faire jouir.  J’étais tellement excité que j’ai rapidement joui dans ma main que j’ai portée à ma bouche pour avaler ma liqueur . Part la suite on a  discuté quelques minutes, puis je me suis rhabillé. De retour a la voiture, je décide de me rendre à Montpellier au rêve. Arrivé au rêve je suis étonné il y a du monde je choisi un dvd et demande une cabine. Pas de chance la quatre n’est pas libre il me refile la six ou la deux   je me rappelle plus. Elle est plus petite que la quatre il y a une glace sans tain aussi mais la banquette est a gauche quand on rentre alors que la quatre, elle est a droite. C’est un petit détail  mais qui a de l’importance quand on aime comme moi s’exhiber.  Il suffit de laisse la porte légèrement  entre ouverte et les mecs matent et moi ça m’excite beaucoup. Je me mets à poil. Je sors de mon sac mes bas résilles les enfile et me vêtis d’une nuisette noire transparente. Il faut que j’achète cette paire de chaussure  à talon haut  pour parfaire ma transformation. J’ai laissé le rideau de la glace sans tain  entre ouvert et la lumière de la cabine allumé.  Je sais que lorsque la cabine est éclairé, de la salle commune on peut tout voir. J’ai pu voir plusieurs visages   m’observer. J’ai éteins la lumière et   je me suis allongé sur la banquette et j’ai commencé à me branler.  La porte légèrement ouverte  semblait bouger.  Il était derrière et lentement il ouvrait la porte,  quand le passage d’une tête fut possible  celle-ci apparu.   Il me regarda   et poussa de nouveau la porte. Voyant de ma part aucune réticence il osa porter sa main sur ma jambe droite et me caressa.  Puis sa main descendit vers mon bas ventre et arrivé à mon sexe il le saisit et me branla. En même temps il était entrain complètement et s’était mis a genoux.  Puis il avança sa bouche et englouti mon sexe : putain il pompait bien. Sentant le plaisir arriver je lui saisis la tête et le poussais en arrière.  .Pas de suite plus tard lui dis je. Il continua à me sucer plus lentement et me caressait les couilles en même temps. Puis il se leva et me dit à tout à l’heure. Je ne l’ai pas revu.  J’avais mon gode marron  en plus du noir  je l’ai sorti.  Je l’adore celui la car il a une ventouse. Je le ventouse sur le mur coté porte  le badigeonne de lubrifiant et commence à jouer avec. Je le fais glisser entre mes fesses  en ondulant mon cul. Je jette un petit regard vers la glace et je vois personne, pas de chance. Puis d’un mouvement calculé je le fais pénétrer en moi  il n’a pas de mal a entrer  vu l’ouverture de mon cul. Je fais onduler mes hanches sur ce phallus artificiel  en imaginant que je suis pénétré par une grosse queue de black. Un regard vers la glace discrètement et là miracle quelqu’un m’observe. Je fais onduler de plus belle mon cul et je sens au plus profond de moi le passage de ce sexe synthétique. Lhomme est toujours là. Je me détache du gode et pivote sur moi-même pour amener ma bouche a la hauteur du gland que je lèche. Puis je m’allonge sur la banquette et  je me caresse mes couilles  et mon trou qui est resté un peu ouvert. L’homme a ouvert la porte, est entré, porta une main sur ma cuisse et me fit tourner pour avoir en face de lui mon cul toujours ouvert .il m’enfonça sans ménagement un doigt  dans mon cul et commença des mouvements saccadés. Un deuxième puis un troisième entra, j’écartais au maximum mes jambes pour faciliter la pénétration.  Je l’encourageais verbalement à m’en mettre d’autre  le quatrième entra, j’étais aux anges  ma queue était dure et je sentais en moi ses doigts qui me fouillaient le fondement. il me mit le cinquième doigt  déjà  je le voyais entrain de me fister le cul, de sentir sa main entrer complètement et ressortir  puis de nouveau entrer. Malheureusement il ne put se retenir et joui. Il ronchonna et retira sa main  l’essuya avec du papier  puis nettoya son sexe. il était pas content car il en avait mis sur son pantalon noir. Il s’excusa de cet incident et me demanda si je venais souvent car il aimerait  recommencer cette expérience  .je lui répond que je ne descends pas souvent mais en général  c’est le lundi ou le vendredi. Une fois qu’il est  parti je recommence a me branler jusqu'à que je jouisse  puis je me délecte de nouveau de ma semence. Très bonne journée ce dimanche.

Cet après midi je suis allé a Montpellier  au Rêve Vidéo  je ne pensai pas trouver du monde vu le temps magnifique qui sévissait sur la région : ciel bleu et 16 d°. La patronne étant pas la, dommage je kiffe quand je la vois c’est un gars très sympa  qui m’accueille .je vais faire un tour vers les cabines et la salle  commune.  Peu de gens dans la salle mais les cabines étaient toute prise. Je reviens vers la caisse et lui demande s’il reste une cabine libre. Il me répond qu’il reste que celle des couples  et que je peux l’avoir. Je choisi un film et me rend dans la cabine .c’est vrai elle est beaucoup plus spacieuse  mais la banquette est un peu plus petite, il me semble que dans les autres  cabines. J’ouvre mon sac, sors une grande serviette pour l’étaler sur la baquette et le commence à me déshabiller. Une fois à poil j’enfile mes  bas  résilles  et c’est tout. Je m’allonge sur la banquette, sur le flanc droit et je commence à me caresser le sexe. Bien sur j’ai pris le soin de laisser la porte légèrement  entrouverte, c’est mon penchant exhibitionniste qui le veut. Ma main droite sur mon sexe qui est au garde a vous et ma main gauche caresse  l’entrée de mon cul. Je n’ai pas attendu très longtemps un gars m’épiais depuis un petit moment  ouvrit la porte et me dit <<tu viens a la 7 >> je lui réponds >>entre>> il me répond  <<viens j’ai mes affaires la bas>> ok  j’arrive. Je range tout dans mon sac et pars, seulement vêtus de mes bas dans le couloir. Les personnes qui sont dans le couloir me regardent, je me sens un peu honteux. Je frappe, il ouvre,  j’entre.  A peine la porte fermé il me met une main au cul, écarte mes fesses et me traite de salope car  il s’aperçoit que je suis bien ouvert. Il me fait assoir et me présente  à  hauteur de ma bouche son sexe. Il est énorme. J’ouvre ma bouche et je l’enfourne   .je le sens durcir  dans ma bouche, je le pompe, le lèche, l’aspire, chatouille le méat du bout de ma langue, cela dure cinq minutes et je sens qu’il va jouir  je me retire et dans des grognements il éjacule sur mon visage. Il m’a traité de tous les noms d’oiseau car c’a été trop rapide  je lui réponds que le seul fautif  c’est lui. Il saisit du papier, s’essuie le sexe et me dit merci et  que j’étais une bonne suceuse.  Je sors de la cabine  le visage plein de sperme et je retourne a la mienne. J’étais en colère car vu le diamètre de sa queue  j’aurais à coup sur jouir quand il m’aurait eu pénétrer .je me suis rabattu sur mon gode noir, une fois de plus. Allongé sur le dos je me sodomisai et me branlai en même temps. La porte s’ouvrit, ils étaient deux. Je leur fis signe d’entrer  le premier  était le meneur car il donnait des ordres au second << occupe toi de sa queue  pendant qu’il va me sucer >> .je » vis un sexe plus court que le précédant mais aussi gros. <<ouvre la bouche suce >> je pris ses couilles dans ma main et les ai amené vers mon visage, tout en guidant sa queue vers l’entrée de ma bouche .je l’ai sucé pendant quinze minute au moins puis je me suis retiré. <<fatiguer tu vas sucer mon copain maintenant>>il prit la place de l’autre et me branla. Puis voyant mon gode il me sodomisa. La j’avoue que  ne pouvant plus me retenir  je jouie sur mon ventre, par saccade. Ayant retiré la queue de ma bouche je poussais des petits gémissements de plaisirs   ils m’ont regardé  ont souri, se sont rhabillés et sont sortis  .je suis resté un moment sans bouger la queue en berne, un gode dans le cul du sperme sur le ventre .j’ôte le gode de mon cul  m’essuie le ventre et décide d’aller au fond du couloir, a la fontaine d’eau fraiche. La j’avoue que je n’étais plus gêné du tout. Après avoir bu deux godets d’eau je retourne a ma cabine et matte le film que j’avais délaissé depuis le début. La séquence, c’était une nana qui était entrain de se faire défoncer mais grave le cul par une énorme bite. Voyant ca je saisi mon gode noir de six cm et sans retenue je m’empale dessus. Je suis sur la banquette, le dos contre le dossier et mes jambes imposent a mon corps un mouvement de va et vient  sur ce phallus artificiel. Cela ne vaut pas un vrai mais faute de grives on mange des merles. Puis je me suis mis à quatre pattes sur la banquette  le gode toujours dans mon cul et je m’enculais a l’aide de ma main gauche. Je prenais mon pied. La porte s’ouvrit et apparu un des types de tout a l’heure <<je savais que tu aimais te faire enculer >> il entra se plaça derrière moi, saisi a deux main le gode et commença a me défoncer le cul. Le gode allait de plus en plus vite et me pénétrait de plus en plus profondément. Ce type était un vicieux comme je les aime. Petit à petit à l’aide de son pied il ouvrait lentement la porte et celle-ci au bout d’un moment était plus de la moitie ouverte. Toutes les personnes qui passaient dans le couloir ne pouvaient pas rater le spectacle. Cela l’exciter mais moi  ca me mettait dans un état de transe presque. Un personne lui a dit <<fouette la >>  aussitôt il m’administra des volées de claques sur mes fesses qui en se trémoussaient sous les coups .puis un râle sorti de ma bouche et des giclées de sperme souillaient ma main droite que je mis aussitôt a ma bouche. Je léchais ma main comme on déguste une glace. On ne perd de miette. Ayant vu que j’avais joui il me donna une grosse claque sur mes fesse et me quitta. Je me suis nettoyé et rhabillé .je suis allé au fond du couloir prendre  un dernier  godet d’eau.  Il y avait plein de gars autour de la fontaine  je leur dit bonsoir et une main que je ne connaissais pas me saisi une fesse  .je me retourne et la propriétaire  de la main me dit <<dommage que tu partes je me serai bien occupé de toi avec mes amis >>  <<désolé j’ai de la route a faire  je dois partir mais on se reverra car je descend assez souvent   >> arrivé a la caisse je remet la télécommande et le dvd au responsable qui me dit avec un grand sourire<< tu t’ai bien amusé d’après se que j’ai vu  >> <<cela aurait pu être mieux  heureusement que j’avais mon gode >> il s’est mis a rire et ma dit bon retour .