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Donc après ma séance de fist, je regagne ma cabine pour me reposer un peu. Je quitte mes escarpins et je m’allonge sur la banquette  et je regarde mon film. Les aiguilles de ma montre défilent et BC n’est pas là .je suis en colère il a du retard. Les gens vont et viennent mais je m’en fous  il me manque.  Deux heures de  retard, la je vois rouge. Je décide de partir. Je suis debout, appuyé contre la porte de ma cabine quand le téléphone vibre. Je décroche, en pensant que c’est  BC qui appelle pour me dire qu’il ne peut pas venir.  C’est une amie on papote. Un marocain passe et me saisit les fesses  avec ses deux mains et vient frotter son bas ventre contre.  Je sens son membre qui  monte et descend le long de ma raie.  Je mets fin a la conversation téléphonique  et  commence a cambrer mes reins en arrière. Voyant que je suis d’accord, il me prend par le bras et m’amène dans sa cabine.  Il reste derrière moi, me saisit par le cou  avec sa main gauche et me force à me plier en deux. Pour ne pas perdre l’équilibre mes deux mains s’accrochent  aux  accoudoirs du fauteuil.  Il met une capote, saisit un tube de lubrifiant et se badigeonne la queue. À peine le tube posé il m’embroche si brutalement que son bas ventre vient s’écraser contre mes fesses. Bonsoir la douleur et le cri qui s’échappe de ma bouche, a la gare on a du m’entendre. Cela  dure une grosse demi-heure. Je m’en peux  plus, je ressemble a un pantin qu’on agite dans tout les sens. Je le supplie d’arrêter, plus je dis stop, plus il s’acharne. Heureusement la fatigue le gagne et la cadence diminue puis il s’arrête.  Je sors de la cabine le cul en feux et la culotte a la main. <<alors ma salope tu me fais des infidélités, a t’entendre tu t’es régalé, maintenant c’est mon tour >>je me tourne et BC  est là. On va s’assoir dans la salle commune et on discute un petit moment. Il ouvre sa braguette et fait apparaitre sa grosse queue, je me positionne à genoux entre ses jambes et happe cette colonne de chair qui gonfle dans ma bouche sous l’effet de ma langue.  Une fois bien raide je me lève, il hôte ses vêtements  et je me positionne pour recevoir dans ma chatte sa queue. Pas besoin de lubrifiant ça rentre sans difficultés. Des gens entrent  dans la pièce et se positionnent autour de la table. Comme convenu, BC devient le chef de meute .et n’hésite  pas a encourager les gars a sortir leur queue pour se faire sucer par la salope qu’il baise .vu ma position (levrette) ce n’est pas commode de sucer des queues , je me mets sur le dos et je ramène sur ma poitrine mes jambes que j’immobilise avec mes mains .la pénétration est plus facile et moins douloureuse .BC harangue ses troupes <<mets ta queue dans sa bouche elle est bonne suceuse ,toi aussi >> je me retrouve avec des queues que je suce par intermittence de droite a gauche. BC se retire et ordonne à un autre de me prendre. Cela va durer plus d’une heure ou je passe de queue en queue dans différentes  positions: sur le coté, debout, assit sur le gars  sur le ventre, le dos.ils ont tous jouie et moi aussi  pat ma chatte .BC est fier de moi et me promet de faire mieux la prochaine fois .il est plus de dix huit heure il se rhabille et me quitte <<je t’envoie un mail >>et il se sauve .je suis seule dans la salle ,allongée sur le dos ,les jambes écartées ,ma chatte encore ouverte .je ferme les yeux et je savoure ce moment de repos .quand j’ouvre les yeux , se dresse devant un noir il ne bouge pas et se caresse le sexe au travers de son pantalon .je me lève et je m’approche de lui ,m’assoie sur le bord de la banquette .ma main droite se pose sur son sexe et je commence a ouvrir la braguette .il se laisse faire donc je continue .ma main fait sauter le bouton et le pantalon descend .je fais glisser son slip et je vois apparaitre une magnifique queue.je la caresse et je la porte a ma bouche . Je me régale puis je lui présente un préservatif. Il refuse il ne veut pas baiser .j’ai les boules. Je me lève, tape sur son épaule et le remercie. Je me change puis je me sauve. Je vais bien dormir ce soir et je suis sur que je vais faire de beaux rêves

Bisss a tous    Lisa votre pute.

Je commence à être  accro de cette salle obscure, meublée d’un canapé noir et d’une banquette. Après une dernière touche sur mes yeux et mes lèvres, Lisa la salope  est prête. J’arpente le couloir comme une pute  le trottoir, grimpe les escaliers et je déambule dans les deux autres salles. Comme d’habitude, vu l’heure il y a personne. Je redescends en sous sol. J’aime bien le bruit des talons sur la pierre des escaliers. Je m’assoie, croise les jambes comme une femme  qui se respecte regarde le film qui est projeté. Je l’adore. Un film sur la sodomie, j’envie toute ces nanas  qui se démonter le cul. Un homme entre dans la salle, s’assié à coté de moi, me regarde puis pose sa main sur mon épaule. La main descend le long de mon dos, me prodigue des caresses, me fait frissonner. Arrivée au niveau de mes fesses, elle entreprend comme un aveugle une reconnaissance plus approfondie de mon fessier et de mon petit trou. Je soulève mon bassin, en appui sur mes jambes, le dos callé contre le dossier. Il en profite pour me saisir les couilles et les tire en arrière par a coup. J’aime ça ! Puis il me fait lever, s’assoie a ma place, me fait monter debout  sur le canapé. Il s’agrippe à mes deux fesses avec ses deux mains et amène lentement vers sa bouche mon sexe. Il le lèche, l’avale, aspire mes couilles, me plante un doigt dans le cul. J’ondule du bassin et fais des mouvements de va et viens. Mon sexe devient de plus en plus gros et dur. Il se régale. Je saisi sa tête avec mes mains et je lui impose un mouvement régulier qui l’oblige à avaler complètement  ma queue par moment. Il bave et émet des bruits bizarres. Pas facile de causer quand on a la bouche pleine.  Puis vient le moment du plaisir. Pas pour moi mais pour lui ! Un grognement, puis  sa main ôte de sa bouche mon sexe et là je m’aperçois qu’il vient de jouir dans sa main droite. Je descends du canapé, remet mes talons hauts, ajuste ma petite culotte et ma robe et lui sourie. Il se nettoie sommairement, remonte son pantalon et quand il passe à coté de moi, me tape sur les fesses en me traitant de bonne salope. Je ne l’ai plus revue de la journée. Je recommence a me promener dans le couloir. Des personnes parlent en haut de l’escalier puis commencent à descendre.  Je m’assoie sur la banquette de droite a l’entrée de la salle et je m’amuse avec mon portable.  C’est trois arabes .le plus âgé en apparence se met sur ma gauche. Étant assise au bord de la banquette, je sens contre mon flanc droit sa jambe et  sa hanche droite. Les deux autres en face de moi sortent leur sexe et se branlent. De jolies queues bien décalottées, bien bronzées (lol) se dressent devant moi .ils bandent dur. Sur mon épaule gauche je sens par intermittences  des petits coups. Je tourne la tête et surprise, une belle queue se trouve à quelques centimètres de mon visage.  Une fraction de seconde plus tard elle est dans ma bouche. Je me  régale. Je lui fais  l ‘aspirateur ce qui lui l’oblige a ce retirer. je saisi sa queue avec ma main gauche et j’entame une bonne branlette tout en me mettant a quatre pattes sur la banquette.  Une fois, bien installée j’avale de nouveau la queue et lui prodigue des plaisirs.  Un des deux autres  s’avance lentement et positionne son membre très prêt de ma bouche.  Je le saisis, le branle, j’ouvre ma bouche ôte la queue de son collègue et enfourne la sienne. Mecontent l’exclu force le passage de ma bouche avec mon mandrin .je me retrouve avec deux bittes dans la bouche  ca fuse dans tout les sens, une a droite, l’autre au fond de ma gorge  puis a gauche  je suis au ange. Mais le troisième n’est pas fait de bois, il passe derrière moi, écarte  mes jambes, s’amuse avec son doigt dans ma raie et a l’entrée de ma chatte. Je sens une verge entre mes fesses, je passe ma main et vérifie qu’elle est habillée. C’est clean de ce coté. Je porte à ma bouche après avoir enlevé les queues, ma main, je crache sur mes doigts et je lubrifie mon cul. Il me pénètre sans ménagement.  Ces couilles frappent mes fesses et ma bouche subit les assauts des deux verges. Putain ! C’est bon de se sentir prise des deux cotés. Combien de temps je ne peux pas le dire, mais quand il éjacule dans mon cul il se crispe. Ses mains se ferment sur l’intérieur de mes cuisses. J’ai mal. Il se retire et je sens que ma chatte reste ouverte et bien sur je mouille énormément. Il se présente  devant moi sa queue ramolli puis retire le préservatif  et me le montre. On peut dire qu’il a mis le paquet. Son collègue se retire  de ma bouche, enfile un préservatif et  prend position.  Il est debout derrière moi, me saisis par la taille et me soulève, m’embroche, colle ses couilles contre mon cul puis essaye de me pénétrer encore plus. Chaque coup de buttoir me fait avancer de vingt centimètre et ma bouche chaque fois avale au plus profond la queue. J’ai des envies de vomir. Il est tellement excité qu’il décharge son foutre en moi et se laisse tomber sur mon dos. Il est trempe de sueur. Il me chuchote des mots a mon oreille mais comme il cause en marocain ou autre je ne comprends rien. Il se retire, joue avec ma chatte en y plongeant deux doigts  puis vient devant moi et retire sa capote. Est ce un rituel ? Le troisième  quand le moment de jouir arrive retire sa queue et m’arrose le visage, le front, le nez et le bord de la bouche. Ils disent que je suis bonne et que je devrai essayer avec beaucoup plus d’arabe. Ils se sauvent. Je vais au toilette me nettoyer. Je commence à me nettoyer quand un mec entre. Il est surpris car il a marqué un geste de recul. Il s’approche et vois sur mon visage des traces de sperme. <<elle s’est régalée la putain  trois d’un coup >>  Il se positionne derrière moi et commence a frotter son bas ventre contre mes fesses. J’écarte mes jambes bien droites et incline le torse vers l’avant en me maintenant au lavabo.  Je me mes a remuer mes hanches << je vais t’enculer salope >>comme réponse je tortille de plus belle mes fesses.  Je sens sa queue sur mon cul .je passe la main, il a une capote.  Je relève ma robe sur mes épaules et saisis le membre et le présente a l’entrée de ma chatte qui mouille comme une fontaine. Bien sur il n’a pas de mal a me pénétrer. il me fait crier de plaisir .il me laboure le cul comme un sauvage .cela dure presque une demi heure .j’ai les jambes en coton, je suis trempe de la tète au pied. Je me branle. Il faut que je jouisse. ! J’éjacule le premier, récolte ma semence sur mes doigts et je les porte a ma bouche qui se délecte  de ce nectar. Puis il va jouir, tout va très vite. Il se retire, ote la capote, me fait tourner sur moi-même, me fait mettre à genou et se branle. Un râle sort de sa bouche, suivi de plusieurs giclées qui viennent atterrir sur mon visage, puis a l’aide de sa queue, il l’étale. Je me relève, il remonte son futal et se casse. je me regarde dans le miroir, j’en ai partout .même ma robe est tachée.

Je suis vraiment une putain, une salope qui progresse lentement mais surement vers la luxure.

Bisous à tous   Lisa la putain

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Et oui j’y suis retourné  .je suis arrivé en fin de matinée il n’y avait personne.  Je suis descendu au sous sol  dans la dernière pièce.  Je me suis changé, je n’ai fait que mettre ma robe et ma perruque, les bas, porte jarretelle et mon petit haut féminin, je les avais mis chez moi.  La prochaine fois que je descendrais à Montpellier, je mettrai ma robe et ma perruque et bien sur mes  talons hauts pour conduire. Ce jour là il faudra que je fasse attention à mon style de conduite. Que se passerait-il si des gendarmes me contrôlaient ainsi vêtu. Revenons à nos moutons. Une fois prête, jattend. Personne ! je sors mon appareil a photos, mets le pied  et je m’autorise une petite séance de shooting. Je suis allongé sur la banquette quand un homme arrive et me regarde. Clic puis un flash, mon type se sauve. Il a du se dire encore un déjanté, je m’arrache. Je continue encore les photos. Puis je sors de mon sac mon gros gode black, le ventouse au mur et je commence à jouer avec, tout en prenant des photos. Mon type redescend et il me voit entrain de sucer mon gode, je le regarde et lui dit bonjour puis j’essaie de l’avaler, mais il est trop gros pour ma bouche. Il reste dans le couloir un petit moment et repart, peut être qu’il a peur  de faire photographier. Bon je remballe tout et décide d’aller faire un tour à l’étage. Putain, c’est vide. Je regarde mon téléphone, ce n’est que treize heures. Patience. Vers quatorze heures deux hommes viennent ensemble dans la salle, je suis  assise, ils restent debout  et commence à sortir leur queue. J’ai remarqué que le comportement des hommes  n’est pas du tout pareil lorsqu’il s’agit d’un autre homme, on va dire << normal >> et d’un travesti. Là il est sur de lui, il n’hésite  pas, il sort son sexe et te le met devant la bouche <<normal ? >>. Bref, je me retrouve donc avec deux queues devant moi. <<Je n’ai pas trop le temps >>ce qui veut dire tout simplement suce moi.  Je  prends donc son sexe et l’avale .je le pompe façon aspirateur industriel  et le résultat ne se fait pas trop attendre. Il pousse un petit hurlement, en retirant sa queue de ma bouche et évacue par deux jets sa semence. J’ai droit en guise de remerciement un énorme  sourire suivie d’un merci. Il remonte son pantalon et se sauve. Il reste encore le deuxième  qui a une trique d’enfer. <<Que veux tu >> timidement il me répond<<je peux te prendre>> ok tu as une capote ? Il ouvre sa main gauche et me la montre. Je me positionne sur la banquette  à genoux en me baissant au maximum car il n’est pas bien grand. Je me lubrifie un peu  puis il présente son mandrin. Un seul coup de rein et je sens ses couilles contre mes fesses.  Il  aime ça le mec, ses mains cherchent mes tétons et finissent par les trouver.Il me les malaxe, les tord, les étire. J’ai mal mais j’adore. Puis l’instant fatidique arrive, il se colle contre moi, tire sur mes tétons, et dans un gros soupir lâche sa purée.  Il se retire, me donne une tape sur mes fesses puis ôte sa capote. Il est heureux. Il est presque quinze heures  les gens devraient arriver. Je suis assise sur le canapé, entrain d’envoyer un message a un ami, quand un homme arriva. Il s’assoie prés de moi et plaque sa main sur ma cuisse.  Il est direct celui la. Il est métissé, il est beau. Il sort son sexe qui est droit comme un i. je le saisis et commence à le caresser. Sa main va droit au but, mes fesses. Il me force à me cambrer en levant de dix centimètre mon cul. Un doigt entre, suivi d’un deuxième. Je me trémousse, mon bassin commence des va et viens sur ses doigts  <<tu aimes ça  >>  je ne réponds pas mais je me laisse retomber sur ses doigts qui me pénètrent un peu plus. Je n’en peux plus. Je me couche sur lui et j’happe sa queue. Un vrai régal. Que demander de plus  la bouche et le cul remplis .je libère  sa queue, me lève  et je m’assoie sur lui, en lui présentant mes fesses. Il me saisit par la taille et m’impose un rythme. Je ressemble à un pantin, je le laisse mener la danse.  Dans la salle je vois que des gens sont là, ils regardent, certains  se branlent, les autres regardent seulement.   Je sens que sa   queue perd de la rigidité, je me lève, fait un demi tour et en restant jambes bien droites  j’abaisse mon torse  et ma bouche avale son sexe.  Je m’emploie à le faire durcir. Je suis donc plié, lesjambes écartées et le cul bien ouvert .je sens une main me caresser les fesses, je dandine mon cul en guise de réponse positive. Puis je sens quelque chose de dur, mais ce n’ai pas des doigts. Je passe ma main et saisis la chose, une bitte, je vérifie  quelle est couverte puis la pointe a l’entrée de ma grotte. Que du bonheur ! Une dans le cul, l’autre dans la bouche, il m’en manque deux pour mes mains. Mais le bonheur ne dure pas, il débande et se retire. Pas content, je me relève et je m’assoie sur les jambes du beau métis, attrape sa queue, la positionne et je me laisse tomber dessus. La c’est moi qui mène la danse, je suis en sueur si je pouvais y mettre ses couilles je le ferai. Vu ma position, je me dis en moi-même pourquoi ils ne bougent pas, une deuxième queue  serait la bien venue. Je bande et je m’astique la queue. Il m’immobilisa et grogna, il était entrain de jouir. On est resté quelque minute sans bouger, le temps de reprendre nos esprits. On papote  puis il me quitte en me donnant rendez vous vendredi.  Le spectacle étant  terminé, les voyeurs  ont disparus. Je me lève, arrange mes vêtements, me recoiffe et remet du rouge a lèvres. Je vais dans la salle  à coté  et je regarde le film. L’histoire : des mecs qui se font démonter la chatte a coup de poing. J’adore. Dans le couloir il ya du mouvement, ils s’arrêtent, matent puis repartent. Ils pourraient  assurer ces cons. Je m’en fous  il me reste le film. Un homme vient s’assoir a mes cotés, me regarde et regarde le film. <<Ça te plait >>   me dit il. Beaucoup, oui. La discussion s’établie, et de fil en aiguille je lui avoue que je l’ai déjà fait. Il m’a demandé de tout lui raconter. Me voila partie dans mes explications : la copine, les godes du petit au 8cm de diamètres  puis pour finir sa main  habillée d’un gant. Il commença  à me caresser la jambe puis sa main glissa vers mes fesses. Je soulève mon bassin pour lui faciliter la tache. Sa main est douce et pas un geste violent. Il commence par me chatouiller la rondelle avec un doigt, puis lentement me pénètre  en faisant des mouvements circulaires  de l’autre main il m’oblige à m’allonger  sur le canapé, la jambe droite posée sur le dossier. Je ne le  regarde  pas. Mes yeux sont rivés sur l’écran de tv. Lentement  mais surement je sens  ses doigt me fouiller le cul, me pénétrer. Je l’incite à continuer car  il s’est arrêté. Mets  la l !! <<n’ai pas peur ca passe >>.  Il fait  tourner sa main  de droite à gauche  tout en poussant. Puis arrive le seuil critique  ou cela force un peu, ou la douleur est plus forte et qu’une fraction de seconde après mon cul aspire cette main. Je me branle, j’ai la queue qui va exploser .il s’arrête. Je sens sa main qui bouge, ses doigts qui gesticulent. Tout cela provoque en moi un orgasme important .je jouie  dans ma main et porte aussitôt a ma bouche ma semence que j’avale .au niveau du cul, j’explose. Je lui dis de retirer sa main. J’adore ce moment ou l’orifice reste ouvert et que je sens couler cette cyprine. Je mouille énormément du cul. Il ya des femmes fontaines et bien moi  c’est le cul. Il s’essuie la main, me malaxe les fesses, me les embrasse et se lève. Avant de me quitter il me donne son numéro de tel. Je reste assit un moment, car j’ai les jambes en coton et mon cul qui < chauffe>. Dommage que personne n’ai  pas  assisté au spectacle.    je vais dans les toilettes, me déshabille et prend une douche bien chaude. Puis je revêts mes habits de mec,  souhaite une bonne soirée au boss en sortant. Ce soir je sens que je vais bien dormir et faire de merveilleux rêves. Des journées comme ça, je signe...  BISOUS A TOUS...