Samedi 12 octobre
6
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/Oct
02:06
Aujourd’hui j’ai franchi un cap très important pour moi. Des que je peux je me rends a
Montpellier pour passer une agréable journée. je vais a mon sex-shop favori dès onze heure trente. Après avoir discuté avec l’employé et la patronne (elle est superbe) je m’installe dans ma cabine et je commence à me travestir. Cela étant fait je me maquille sommairement dans les toilettes. Je regarde le film un moment, puis j’arpente le couloir ou alors je m’assoir dans la salle commune. Personne ! je trouve le
temps long. Les premiers arrivent. Je suis content. Malheureusement, la chance n’est pas avec moi. Ce sont des purs homos ils n’aiment pas les travestis. On me l’avait dit, certain se sont même plaint de notre présence. Bref quinze heures sonnant je décide de quitter les lieux et de retourner chez moi. Je
commence à me déshabiller quand une idée germa. Je vais
aller à l’autre sex-shop qui est à un pâté de maison. Je décide de garder sur moi les
vêtements féminins que je cache sous mon pantalon et mon tricot. Je m’essuie mes lèvres pour ôter le rouge a lèvre, nettoie mes
yeux et ôte ma perruque. Cinq minutes plus tard je suis a l’entrée de l’établissement. J’entre, discute
avec le patron puis je me jette dans l’arène. Il y a du monde .je parcours les quatre salles, il n’y a
pas de travesti. Je m’isole dans une cabine et quitte mes vetements de mec. Je remets ma perruque, me refait une beauté puis je reste prostré pendant quelques minutes. J’y vais oui ou non ? C’est la première fois que je lance ainsi habillé au milieu de ces
personnes. Faut dire que dans l’autre sex- shop l’ambiance n’est pas du tout la même. C’est plus convivial, là ce serai plutôt de l’abattage. J’ouvre
la porte je fais quelques pas .je m’arrête devant les escaliers qui mène au sous sol et regarde tout au tour de moi. Je ne me suis pas
trompé je suis le pot de miel et eux les abeilles. Je me dirige vers la salle que je nomme
hétéro (à cause des films) et je m’assoie sur un fauteuil en bout de rangée. Ils s’approchent, m’entourent, me dévisagent, attendent. Je ne bouge
pas j’attends moi aussi. Je savoure ces minutes qui font battre mon cœur à mille l’heure. Lentement mais surement une personne vient se plaquer contre moi dans mon dos et pose sa main sur mon épaule gauche et commence a me peloter la poitrine. Voyant aucun refus de ma part un gars,
situé sur ma gauche sort son sexe et commence à se branler. Une fois bien raide il s’approche de moi et
me présente son dard a la hauteur de ma bouche. Il marque un petit temps d’arrêt, voyant aucun geste de
refus de ma part il me le plaque sur mes lèvres et d’un petit coup de rein me pénètre. J’avale le sexe sans difficulté, je le suce, le pompe, le lèche. C’est le signal. Je sens des
mains qui me touchent, certaines me caressent avec douceur, d’autres écartent mes jambes et me tripotent le sexe, une essaye de me pénétrer mon anus. Je suis excité au maximum, jamais je
n’aurais pensé ressentir cette montée d’adrénaline. Je suis en sueur .je ne sais plus depuis combien de temps que cela dure, mais je sais que des
queues dans ma bouche et dans mes mains j’en ai eu. Puis une voix me chuchota a l’oreille <<on descend on sera plus tranquille >>.
<<D’accord >>.je suis resté une minute à m’arranger ma robe et mon string. Je suis descendu et je me suis dirigé vers la dernière salle. Le couloir étant étroit en
arrivant a l’entrée de la salle je me suis heurté a une
<<montagne >> de gens. Ils m’attendent. De nouveaux des mains me tripotent les fesses, la poitrine, les cuisses et même mon cul. Une main
me saisit derrière la nuque et me force à me baisser et me mène droit sur une queue bien raide que j’avale avec plaisir .je sens un doigt qui me pénètre, je cambre mes reins. Je n’ai plus de retenues, je me lâche. Je suis vraiment une salope et j’aime ça .le doigt se retire et je sens un mandrin de chair faire des va et vient dans ma raie je passe
une main, saisit le sexe ; vérifie qu’il est couvert et le présente a l’entrée de ma chate. Un seul coup de rein et je sens contre mes fesses ses couilles. Malgré une queue dans la bouche je
l’encourage à continuer. Il me défonça le cul dans les règles puis sentant la jouissance venir il se retira, ôta sa capote et m’arrosa le fesses de
sa liqueur, puis l’étala avec sa queue en me traitant de tout les noms d’oiseaux. Je n’en pouvais plus j’étais à plat. Je me suis assis alors dans la
pièce ou se trouve la gille .je me vautre sur le canapé, les bras en croix, la tête en arrière. Le répit est de courte durée, l’homme qui s’était mis derrière moi au début
est là. Il me caresse les cuisses voyant aucune réaction de ma part il m’administre une claque de toute
ses forces sur ma cuisse droite. Je réagis en émettant un grognement de plaisir .encouragé par ma réaction il se lève, me saisit par les bras et me
fait faire un demi tour. Je le laisse mener la barque .je me retrouve donc a genoux. D’une main il me plaque la poitrine contre le dossier sur le
canapé et de l’autre il me fait cambrer les fesses. <<Ne bouges pas>> il me relève la robe, écarte avec ses deux mains mes cuisses. C’est
alors qu’un claquement suivit aussitôt par un autre résonnent dans la pièce, une chaleur intense se développe sur mes fesses. Les coups tombent régulièrement, la douleur devient de plus en plus
difficile à supporter mais je le laisse faire. Je me rends compte que j’aime ça. je me met a bander .il me traite de salope, que je ferais un bon
soumis que je devrais trouver un maitre ou une maitresse. Puis il éjacule en criant.il me caresse les fesses, elles me font mal.
<<t’as le cul tout rouge, je reviens dans un moment >>je me retourne et je me lève. Il faut
que je marche, j’ai le cul qui chauffe. Je me balade de pièce en pièce, regarde les gens et les films. Une envie pressente, direction les toilettes,
après, je me refais une petite beauté .la porte s’ouvre et mon bourreau surgit <<écartes
les jambes et penches toi en avant >> je m’exécute et la j’ai droit a une volée de fessées. Je
m’agrippe au lavabo et je sens monter en moi le plaisir .l homme jouie pour la seconde fois, il est heureux , il me remercie et me demande quand je reviens. Je redescends au sous sol et regagne
le canapé. Malheureusement après coup d’œil a mon téléphone je m’aperçois que c’est l’heure. Je me
change et je me sauve. Je suis très content de cette seconde partie de mon après midi cela m’a permis de constater que je serai un bon soumis. Il va falloir que j’étudie la question.
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Par lopette12
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Publié dans : travesti
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0
Dimanche 1 septembre
7
01
/09
/Sep
01:37
Le 28 aout, ne travaillant pas je me suis rendu sur mon lieu préféré à Montpellier pour
assouvir mes envies de sexe. La veille, dans ma salle de bain, je me suis épilé entièrement le
corps. Les seuls poils qui me restent, se trouvent sur ma tête. Je peux vous dire que je ressemble à un nouveau né . Je prends mon petit sac a dos,
que je remplie avec mes sous vêtements, ma nouvelle robe noire et ma nouvelle paire de chaussure a talon haut. Ma perruque ne convenant plus, je la
laisse. Il faut que j’en achète une autre ça presse. Apres une petite heure de route je suis a l’entrée du sex shop. Il n’y a pas beaucoup de monde. C’est de bonne heure, avec de la chance ça
viendra plus tard. Je choisi une cabine avec sur chaque paroi une gloriole. Je les ferme et je verrouille ma porte .je n’aime pas être dérangé quand je me travesti. Une fois prête j’éteins la
lumière, ouvre les glorioles et déverrouille ma porte. Je m’assoie dans le fauteuil, en prenant une pose aguichante. Je visionne le film en me
caressant le sexe. Ne voyant personne se manifester, je joue la carte de la provocation en allant au distributeur d’eau fraiche situé au fond du
couloir en face de la salle de projection commune. Ça marche ! Cinq minutes après je vis sur ma gauche une lueur dans la cabine adjacente,
aperçus un homme qui se déshabillait mes yeux faisaient comme une balle de tennis sur un court (film-
gloriole -film) puis un sexe apparu très lentement. Je le caresse du bout des doigts, l’homme se retire
puis ayant compris que j’accepte, d’un coup de rein il vient plaquer contre la paroi son bas ventre. Il est la, il attend que je m’occupe de lui.
J’approche mon visage, ouvre la bouche et sors ma langue. Lorsque que celle-ci, effleure le gland, je me lâche .j’avale ce sexe, le leche, titille le méat bref lui taille une pipe dans les règles. Je me lève du fauteuil, ayant toujours le mandrin dans ma bouche et me positionne le cul vers la porte. Par le trou,
je vois qu’il a laissé la porte de sa cabine ouverte. Super !!Ma position, est vraiment un appel au viol. Je suis pliée en deux, les jambes
droites, écartées au maximum pour être en appui. Apres avoir entrouvert la porte, une main me caresse les fesses avec douceur, elle se balade sur ma croupe qui se trémousse. Puis elle part de mon bas du dos et descend le long de ma raie en jouant avec la ficelle de mon
string. Putain, je bande grave. Un doigt joue avec ma rondelle, il la masse et s’insinue dedans. Je pompe le mec de plus en plus
violement et je saisie avec ma main droite ses couilles que je malaxe, je pétris. Je me fais traiter de
tous les noms par la personne qui me pénètre le cul avec son doigt. <<salope, sac à foutre, garage à bite, pétasse >> puis elle retire son doigt et se sauve. Je suis déçu. L’homme de la cabine retire son sexe et passe aussi tôt
dans la mienne. Un bel homme se présente devant moi, entre, se met a genoux et commence a me sucer. Pendant une bonne demi-heure on se fait
plaisirs. Ayant laissé sa cabine ouverte un autre homme s’agenouille et nous observe. Il se décide de
sortir sa queue et l’a fait passer par le trou pour me la présenter. Je la saisi, la branle puis la porte a mes lèvres elle est plus grosse elle me remplie bien la bouche. Je m’eclate. Ne tenant plus, il retire sa queue et
trente secondes après il est devant moi. Elle est vraiment grosse. Il me saisit la tête avec ses deux mains et l’amène à son sexe. J’ouvre la bouche et l’avale. J’ai failli vomir. Les mouvements
saccadés imposé par ses mains ne tiennent pas compte que par moment, je suffoque. Quand ma
bouche s’écrase sur son bas ventre et qu’il maintient la position un certain temps. Puis il rejette ma
tête et saisit l’autre de la même façon et le force à le sucer. Je suis sur le dos, les jambes écartées au max .je me pose des questions
sur la solidité du fauteuil car il est instable. Mais cela est vite oublie car une main s’attaque à ma rondelle. Les commentaires vont de bon train
sur mon cul. <<t’as un vrai cul de lope t’es dilaté au max je vais te fister>>
après un doigt puis deux puis trois son bras entame un va et vient. Je suce l’autre personne et je me branle en même temps. Puis c’est l’explosion en moi je joui du cul puis
j’éjacule sur mon ventre ma semence. Je suis en nage. La
main se retire de mon cul. Il me donne un tape sur ma cuisse et me donne rendez vous dans sa cabine plus tard. Je suis vidé
.je reste affalé sur le fauteuil, les jambes écartées offrant a toute personne qui passe dans le couloir mon cul ouvert et ma queue dégoulinante de
foutre.et j’adore ça. C’est mon coté exhibitionniste. Apres un long moment de repos je me suis changé et je suis parti.
Je vous raconterai la suite plus tard car je me suis rendu dans un autre sex-shop ou je me suis bien amusé avec un trav
BISOUS A TOUS ….
Par lopette12
-
Publié dans : travesti
-
0
Samedi 24 août
6
24
/08
/Août
05:38
Salut
Ce soir, je veux dire la nuit dernière, non cette nuit je me suis assis devant mon ordi et j’ai regardé des sites pornos. De la zoophilie, cela
faisait longtemps que je n’en ai pas vu. J’ai commencé par des photos puis de sites en sites je suis arrivé aux films. Tu en veux des bittes de chiens et de chevaux, je peux dire qu’on est servi.
Au milieu d’une page de films se trouvait un film sur la scatophilie et l’urologie. Ayant déjà gouté je
clique sur le film. Là ce sont deux femmes qui s’adonnent à des jeux que beaucoup de gens
trouvent écœurant. Une fois terminé je passe a un autre, puis un autre. Je clique après chaque film
dans l’espoir de trouver la perle rare. Le summum de la perversité. Au bout de trois heures je ne pense qu’a ca. Cela m’excite de plus en plus et je ne peux pas m’empêcher de me caresser. Vers trois heures, je n’en peux plus. Je me lève et je me dirige vers ma salle de bain, en faisant un crochet par la cuisine. Je récupère une canette en verre de bière pleine puis ma bouteille vide d’Orangina d’un litre et demi que j’avais
terminé en début d’après midi. Me voila dans ma salle que de bain. Je me dévêtis et je m’allonge dans la baignoire. Je pose mes deux
pieds joints sur la margelle et positionne mon cul le plus haut possible. Mon sexe n’a qu’une seule
envie ce soulager. Quand le jet de mon urine frappa mon visage, ma bouche s’ouvrit et se rempli de mon champagne que je m’empressais d’avaler .le
pied. Après avoir vidé ma vessie je me suis mis a quatre pattes et pour me nettoyer le cul je me suis enfonce la canette après l’avoir
décapsulé. La petite bouteille est rentrée comme une
lettre à la poste, faut dire que je joue avec des diamètres plus gros. Une fois en moi je la remue et la, je sens en moi un jet puissant
qui me remplie le cul, j’ai beau serrer les fesses, de la mousse s’échappe. Je retire la bouteille délicatement, plus de la moitié du liquide se trouve en moi. Je me repositionne comme précédemment, mais la, je lève mon cul beaucoup plus haut, presque a la verticale de ma tête. Cette position est vraiment
inconfortable mais le résultat final vaut bien tout les efforts. Je n’ai pas besoin de forcer pour évacuer le liquide, un jet s’échappe et termine sa
course sur mon visage. C’est un mélange de bière et de merde plus au moins liquéfié. Je ramasse, avec ma langue le maximum de liquide et de
matières autour de ma bouche et le reste a l’aide de mes mains. Je me lève puis je m’accroupie. Je
porte ma main droite sur mon anus et je commence à me branler un, deux, trois puis cinq doigts entrent, fouillent, ressortent et pénètrent aussi tôt ma bouche pour être nettoyer. Je les lèche, les
suce et les enfonce de nouveau en moi .je me délecte de ce mélange. Puis je saisie la bouteille d’Orangina, remplie au préalable d’eau chaude et je m’empale dessus sans retenus. Je me soulève et je me laisse retomber comme un poids mort. J’aurais aimé
me la mettre entière. Je me suis défoncé le cul tout en me branlant. Puis le moment de la jouissance
arriva. Je récupère cette semence dans ma main que je m’empresse de nettoyer avec ma langue. J’ai
le cul qui reste ouvert un certain temps, c’est un moment de plaisir très intense c’est une sensation indéfinissable. Puis il se referme lentement.
Mon seul regret pour cette soirée c’est que j’étais seul. Un homme ou une femme aurait été bienvenu.
Bisous a tous, je vais me coucher il est cinq heures trente.
Par lopette12
-
Publié dans : scato
-
1
Dimanche 4 août
7
04
/08
/Août
18:38
Bonjour cela fait un petit moment que je n’ai pas
publie un article. Le manque de temps et surtout la flemme. Mais je n’ai pas pour autant arrêter mes divagations sexuelles. Me travestir prend de plus en plus d’importance. Je ne peux pas l’expliquer mais j’y pense tout les jours. Ça a commencer par une culotte de femme et j’en suis au string, au bas, porte jarretelle, bustier,
chaussures, et perruque (elle n’est pas terrible il faudra que je la change). Je m’épile même le corps. J’adore me promener chez moi habillé en femme. Mais la ou je me lâche le plus c’est au
sex-shop. Ainsi vêtu je m’autorise des relations que, si j’étais habillé en homme je ne pratiquerais pas. Je me sens vraiment femme et j’agie comme une dévergondée. Ayant un caractère de soumis
je m’exécute sans rechigner. J’aime être insultée rabaissée, la parole est aussi motivante que les
actes. Je n’ai pas de retenue, si on me baise je m’arrange pour que les gens autour me voient et viennent participer. Plus on est nombreux plus on m’éclate. Une seule chose me désole je n’ai pas
pu trouver cette grosse queue noire pour m’éclater. Tout les blacks que j’ai rencontré, pas de bol
voulaient seulement se faire prendre et avaient une queue normale. Je suis maudit !!!! . il me reste heureusement mon gode ventouse modèle black .
Par lopette12
-
Publié dans : travesti
-
0
Vendredi 31 mai
5
31
/05
/Mai
12:13
Je suis arrivé vers 14heure, je pensais qu’il y aurait personne et bien non. Je fais rapidement un tour, choisis un film et je vais a la caisse. La
patronne est là, toujour aussi souriante et surtout toujours très belle. Je demande une cabine avec banquette mais elles sont toute prises .je me rabats sur une, possedant un énorme fauteuil. Je
pose mon sac et je vais faire un tour dans le couloir. Surprise je rencontre un trav que je connais et on se met à discuter. Entre temps une personne sort de la cabine n ° 4 et s’en va. Je vais à la caisse et demande à changer de cabine. Âpres autorisation je change de cabine.
C’est ma cabine préférée. Je commence à me déshabiller et enfile pour la première fois ma guêpière que j’ai reçue le matin même. J’enfile mes bas résilles et mon string noir. Je suis prête. De la
salle de projection venaient des cris, des gémissements je pousse le rideau qui est devant la glace sans tain et regarde. Le trav est sur la banquette rouge, allongée plutôt a quatre pattes,
sur les avants bras et sur les genoux, le cul en l’air bien cambré. Derrière elle se tient un homme complètement nu qui est entrain de lui assener une magistrale fessée. Il la saisit par les
hanches et enfonce en elle son énorme queue. À chaque coup de buttoir il lui arrache des cris de plaisir. Puis il se retira ,la fit mettre sur le dos
,saisit avec ses mains ses chevilles ,les leva puis amena ses fesses au bord de la banquette
il le pénétra avec violence ,chaque fois que ses couilles tapaient contre ses fesses il hurlait de
plaisir . J’avoue que ce spectacle m’avait filé la trique. Je fis quelque photo de moi. Puis je suis, ensuite allé dans le couloir chercher de l’eau pour étancher ma soif. Ils sont sortis de la
salle et forcement m’ont croisé. Discussion, puis une main est venue me caresser les fesses. Tout en parlant, l’homme qui était à poil délaissa mes fesses pour s’amuser avec mon petit trou .un
doigts puis deux, suffisent à me faire onduler mon cul comme une chienne en chaleur. Nous sommes allés dans ma cabine mais, au bout d’un quart d’heure il faisait trop chaud. D’un
commun accord nous sommes allés dans la salle de projection. Il a d’abord sodomisé l’autre, et pendant ce temps la il m’a dilaté le cul avec ses doigts (comme si j’en avais besoin). Apres avoir changé de capote il me fit mettre a
quatre patte et s’enfonça en moi il s’arrêta quand ses couilles s’aplatirent sur mes fesses. Il marqua
une petite pose et ensuite me défonça le cul sans retenues. Je comprenais maintenant pourquoi il
gémissait a chaque pénétration. Un homme est arrivé, il nous a regardé puis c’est mis a caresser l’autre trav qui était entrain de me caresser le sexe. Toute l’après- midi nous nous sommes
mélangés. Puis il a été l’heure de se quitter. Retour a la voiture .
Par lopette12
-
Publié dans : narration
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