lopette12

Une journée qui devait être très chaude  d’après la météo, mais qui fut un peu fraiche à cause du marin (vent). Cela ne n’a pas eu d’incidence sur ma tenue vestimentaire, mais n’incita pas  les gens à se promener sur les berges du lac. Heureusement que mon petit nid est relativement protéger  et que le soleil le réchauffe. J’adore faire des photos de moi, ne voyer pas là du narcissisme ; je ne suis pas imbu de moi-même. Mais cela me permet de garder des souvenirs et surtout de vous en faire profiter. Revenons a nos moutons. J’étais entrain de faire une série de photos, quand il apparu. J’étais tellement  occupée par les clichés, que je ne l’avais pas entendu venir. Surprise je suis restée un moment sans bouger. Il m’a de suite mise à l’aise. <<continue, si je te gène, je m’en vais. >>.

<<non tu peux rester, je vais voir  si elles sont réussies>>.  Je me mets a genoux sur mon drap de bain et je commence a visionner.  Il se positionne derrière moi et commence par me caresser le dos, puis sa main glisse lentement sur ma poitrine et me caresse le sein droit. Moi je le laisse faire tout en regardant les photos. Puis sa main se pose sur ma croupe et commence à me relever ma petite robe grise. <<Je peux >>. Je fais un signe de la tète en guise de réponse positive.  Ma petite culotte noire est vite mise à l’ écart et il empoigne fermement mon sexe. Il le malmène, j’adore être mal traiter, subir des violences sexuelles.  Il me tire les bourses, les écrasent, me tord le clito. J’adore.  J’en profite pour faire des photos. Puis il saisit une branche de buis  et commence par me flageller les cuisses puis mon clito qui malgré la douleur gonfle.  Ma croupe se cambre au maximum sous les assauts de cette cravache improvisée. Mes fesses sont toute rouges et une sensation de chaleur m’envahie.  Il s’arrête, me saisi par l’épaule et m’oblige à me mettre a genoux devant lui. Mon visage est juste à la hauteur de sa verge qui est tendue comme un arc. Il me saisit la tête et plaque mon visage sur son sexe en me disant <<suce moi salope >>. Ma bouche avale son sexe ; le pompe, le lèche, avale ses bourses, ma langue parcourt sa hampe de bas en haut  s’insinue dans son méat. Ma main gauche saisit les bourses et les  malaxe. Ma droite par contre, elle est beaucoup plus coquine, elle  caresse ses fesses et  descend par la suite entre  celle-ci jusqu'à l’entrée de son petit trou. Mais je n’ai pas le temps de faire quelque chose car sa main me la saisit et l’amène sur sa hanche. Son sexe, à cause du rouge à lèvres  change de couleur. Il devient tout rouge .c’est vrai  il flashe. Puis il se dégage et me fait des signes de la tête. Je me retourne et je m’aperçois que nous somme pas seul, situer à 5 ou 6metres, il nous regarde tout en se masturbant. Il a une belle queue. Le cueilleur  de thym remonte son pantalon  me remercie et part dans la direction opposée. Le voyeur me regarde et s’en va. Je sais qu’il reviendra.  Dix minutes après, il est de retour il m’observe.  On se regarde comme deux chiens  de faïence, cela peut durer longtemps. Je décide d’agir. Je me relève et je vais à sa rencontre. Arrivée  à deux mètre de lui je me campe tout droit, les jambes raides et écartées, les mains sur les hanches et je le fixe. Il s’approche lentement et en souriant je lui dit que je ne mords pas. Il sourit. Ses mains me saisissent par les hanches et me font effectuer un demi-tour. Elles se promènent  avec douceur sur ma poitrine, puis plongent dans ma petite culotte. Je sens dans mon cou sa respiration saccadée. Il me caresse mon clito qui commence à durcir et s’occupe en même temps de mon petit cul. Il se frotte contre moi et je sens contre ma cuisse que son sexe devient dur. Je passe ma main gauche entre lui et moi et la plonge dans son jogging. Je saisis son membre et je commence à le branler. Ne tenant plus, ses deux mains baissent  le pantalon et laissent  apparaitre une belle queue. Je me mets à genou et je commence à le sucer. Il me saisit la tête  avec ses deux mains et m’impose un rythme. Son sexe vient butter au fond de ma gorge et on entend des bruits que je qualifierai bizarre. Les mouvements s’accélèrent, je me dis qu’il va bientôt jouir. Je le pompe  avec plus de ferveur. Je veux son jus. Je suis motivée. Il faut que j’ai ce petit déclic  en moi pour que  j’aille jusqu’au bout : recueillir le jus dans ma bouche. Mais au moment suprême il se retira et m’arrosa le visage. Je lui fis la réflexion  pourquoi tu t’es retiré ? Il me regarda et me dit la prochaine fois tu le boufferas maintenant que je le sais .il remonta son pantalon et se sauva. Je me suis nettoyée, rangé mes affaires et je suis partie vers ma voiture toujours habillée en salope.

Journée agréable  a renouveler

Bissssssssssssssss

 Lisa