Partager l'article ! Campagnac A75 aire de pique nique:   ...
C’était le lundi de pâques et j’étais allé faire un tour à Campagnac. C’est la troisième fois que je m’y rends et chaque fois j’ai rencontré des gens. Je ne connaissais pas ce lieu, on me l’a indiqué un après midi sur les berges du Salagou par une personne que j’avais soula gé de sa semence avec ma bouche. La première fois il faisait horriblement chaud, comme au lac. Après avoir trouvé un coin agréable et en retrait je me mets complètement à poil et je m’allonge sur ma serviette. J’aime sentir le soleil sur ma peau. Un homme est arrivé, m’a regardé et m’a demander si il pouvait se mettre a cote de moi. Après une réponse positive il étala sa serviette, ôta son polo, quitta son short, Il n’avait pas de sous vêtement, et une belle queue se dressa. Apres une conversation de plusieurs minutes il me proposa d’aller ailleurs un endroit ou on serait plus tranquille. Après avoir fait quatre cent mètre en voiture on se retrouve au milieu d’un foret. Cinq minutes plus tard on s’installe, se déshabille et on s’allonge l’un contre l’autre. On se caresse mutuellement. Il pose sa main sur ma tète et lentement me guide vers sa verge. Ne tenant plus je parcours les vingt centimètres restant à vitesse grand V et j’avale son sexe. Je me régale. Puis on se retrouve position soixante neuf et pendant qu’il s’occupe de mon clito, ses mains palpent mon cul, et s’intéressent a ma chatte. Il écarte mes fesses et voyant aucune résistance, il enfonce en moi deux doigts que j’avale sans problème. Il me dit qu’il aime les culs imberbes. Puis il se dégage de ma bouche, met rapidement une capote et me pénètre brutalement. À chaque coup de buttoir ses couilles viennent s’écraser contre mes fesses. Je suis en transe, je pousse des cris j’écarte moi-même mes fesses avec mes mains. Il me défonce grave il est de plus en plus violent et j’en demande encore plus. Il m’explose la chatte. je souhaite qu’une autre personne assiste nos ébats et puis qu’elle vienne s’occuper de mon autre orifice libre ma bouche. Après m’avoir pris dans différentes positions, il s’allonge sur le dos et me demande de m’occuper de son petit trou. Il est comme moi, il a tout le matos gant, gel.je lubrifie mes doigts puis son orifice. Lentement mais surement j’introduis mon majeur en faisant des va et vient, je commence par assouplir sa rondelle et je saisi dans ma bouche son sexe et lui taille une pipe dans les règles, puis je commence par le chatouiller avec mon index. Voyant aucune réticence de sa part je continue ma prospection .après avoir introduit la première phalange, je pratique un mouvement de rotation gauche droite et vice versa pour assouplir sa rondelle. Je sens dans ma bouche son sexe qui vibre et j’attends son jus. Les deux doigts bien en lui je commence un mouvement de piston qui provoque des gémissements de sa part, son bas ventre se soulève a chaque poussée pour accompagner la pénétration. Malheureusement malgré tout mes efforts il n’a pas joui. Nous arrêtons et nous discutons un moment puis on regagne nos voitures.
J’aimerai bien le rencontrer de nouveau car il est vraiment beau et il a une belle queue.
La deuxième fois je me positionne au même endroit, à poil sur ma serviette. Je l’ai vu dès que je suis arrivé, il était derrière les arbres. Il s’approche de moi, me regarde et se sauve, j’etais sur le ventre. Je mets donc sur le dos comme ça il verra l’autre coté. Effectivement il revient et s’arrête sur ma gauche, puis repart. Il me contourne sur la droite et vient se mettre à un mètre de moi coté pied. Il se met à genou et sa main gauche me caresse le mollet. Des frissons me parcourent tout le corps. J’adore les caresses, les attouchements. Sous l’effet des caresses je tends mes jambes et je les écarte. Sa main arrive sur ma fesse gauche et s’insinue dans ma raie direction le trou. Pour être direct il est direct. Un doigt me pénètre suivi aussitôt d’un deuxième, je cambre mes reins et écarte au maximum mes cuisses. Peu de temps après c’est un troisième. Sa main me défonce et je réclame la main entière. Il se branle en même temps, sa respiration est saccadée il me traite de grosse salope, de sac à foutre, puis j’entends un grand râle il vient de jouir sur ma jambe. Il n’est pas content du tout, il m’accuse, je suis responsable. Il ôte sa main de ma chatte, se lève et s’essuie avec un mouchoir. Il est très déçu et moi alors ! Je pensai me faire défoncer par cette main.je suis lessivé je vais en rester là pour aujourd’hui. Je me rhabille, monte dans mon véhicule, et emprunte l’A75 pour rentrer chez moi.
La troisième fois fut la plus triste .c’était le lundi de pâques et personne est venue. On ne peut pas toujours gagner
Bisssssssssssss
LISATRAV12
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