Partager l'article ! sodomisé sur le gazon d'une aire de repos: Hier soir vers 18heures je suis allé sur un lieu de rendez vous ...
Hier soir vers 18heures je suis allé sur un lieu de rendez vous
pour homo prés de chez moi. Il y avait 3 ou 4 personnes. Je portais un pantalon et sous celui-ci j’avais mis des collants ouverts devant et derrières puis un string noir a dentelle. En ce qui
concerne le haut je portai un chemisier de couleur foncé.je n’ai pas encore le courage de porter cette jupe courte en public dans ma
ville. Il faisait sombre et j’étais debout appuyé contre un pan de mur. Je sens une présence derrière
moi, je suis excité. Une main se pose sur mon épaule et descend lentement vers mes fesses je ne peux pas m’empêcher de cambrer mes reins. <T’es chaude> et pour seule réponse j’ai pousse un gémissement .sa main droite, arrivé
sur mes fesses commença à me les caresser, pendant que sa main gauche se logea sur mon bas ventre.
J’étais parcouru par des frissons de sentir ces mains inconnus me tripoter me rendaient complètement
docile. Il a du s’en apercevoir et ses mains devinrent plus hardis .il me dégrafa le pantalon et y
plongea sa main. L’autre s’immisça dans ma raie et me chatouillait mon petit abricot. Je ne pouvais pas me retenir.je me suis mis a onduler mes
reins, des mouvements qui épousaient chaque action de ses mains. Mon pantalon tomba sur mes pieds. a la vue de mon collant et de mon string ,il me traita de grosse pute ,de sac a foutre de suce
bite en me branlant avec violence .j’étais presque a poil entre deux voies de circulation et a chaque
passage des voitures , la lueur de leur phare nous mettait en évidence. Il me demanda de le sucer je me suis mis donc a genoux devant lui et lui mis
une capote .une fois en place il posa ses mains derrière ma tête et la poussa vers son sexe qui s’enfonça jusqu’au fond de ma gorge. De sentir cet
intrus au fond de ma gorge me donnait l’envie de vomir et mes yeux en pleuraient .j’essayais de me retirer mes ces deux mains me l’empêcher.
<t’aimes ça salope bouffes la ma queue>cela dura dix minutes qui me parurent une éternité. <lèves toi et penches toi je vais t’enculer> les jambes raides, écartées, le dos courbé, les
deux mains accrochées a un panneau du syndicat d’initiative je m’offrais, balayé par les lueurs des
phares. Ces deux mains sur mes hanches il me posséda, me pénétra sans ménagement. A chaque coup de buttoir il m’arrachait des cris, son gros sexe,
malgré mes pratiques de dilatations me faisait souffrir. Pas pour le diamètre mais pour sa longueur, a chaque coup de rein son gland percutait le
fond de mon ampoule rectale. <nettoies maintenant lèche le bâton la truie> il se retira, me fit faire un demi tour et me présenta sa queue <suces lopette>je la saisi et l’avalai
goulument... Je me suis appliqué à la nettoyer je la léchais, aspirais, prenais un grand plaisir a ôter les souillures venant de mon cul. Pendant que
je nettoyais sa queue, une personne plus âgée tournait autour de nous. Il devait la connaitre car il lui fit un signe de la main et elle vint.
<t’as vu comme elle est bonne cette salope tu veux toi aussi participer > un grand oui fusa de sa bouche. Etant la personne la plus concerné je n’ai même pas bronché à cette invitation.
<suce le fais le jouir dans ta bouche > Il me releva et me pénétra avec plus de violence. L’autre
s’agenouilla devant moi, saisit ma queue et se mis à me sucer. Devant et derrière il me restait mes deux mains mais je n’avais rien à leur offrir .ce
qui devait se produire se passa, j’éjaculai dans la bouche de cet homme qui savoura jusqu'à la dernière
goutte mon sperme. Il ôta mon sexe de sa bouche, me regarda, et me remercia tout en se léchant ses lèvres. < Ne pars pas> lui lança l’homme qui était entrain de me pénétrer. < Tu vas finir ce que tu as commencé, tu vas le nettoyer>. Apres cinq bonnes minutes, il ôta sa queue de mon
cul, retira sa capote et éjacula sur mon trou du cul. <nettoies lui son cul > l’homme saisit mes fesses et les amena sur son visage .je senti son nez s’écrasai au fond de ma raie et sa langue me fouillait mon trou. Ne pouvant plus me retenir je saisi a pleine main mes fesses et je les écartais au maximum pour permettre a cette langue de me pénétrer. Une fois rassasier l’homme se releva et
nous remercia en souhaitant nous revoir. L’homme au bonnet, content de lui, en me caressant de nouveau les fesses me traita de grosse salope et me dit <la prochaine fois, il y aura plus de
lumière et surtout plus de mecs >je lui ai répondu ok et donné une de mes adresses mail pour me
contacter. il est parti me laissant seul sur la pelouse a moitié a poil .je me suis rhabillé et je suis allé boire un verre dans un café. TRES BONNE SOIREE IL FAUDRA
QUE JE REMETTE CA.
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