lopette12

Dimanche  après midi je suis descendu sur Montpellier. Arrivé vers la gare  j’ai hésité entre le rêve ou le Rex .l’arrivée subite d’une averse  a vite eu raison de mon hésitation.  Etant  plus prés du rêve j’y vais très rapidement .il ya un peu de monde dans la première salle, des gens qui viennent louer des dvd. Je m’aventure dans la salle de projection et au premier coup d’œil sept personne. Je choisi  un film et prend une cabine, celle qui donne sur la salle de projection. Je m’installe : je me déshabille. Je m’allonge sur la banquette et je regarde le film en me caressant .j’avais au préalable fermé la porte, disons plutôt  tiré et coincé avec un bout de papier. Ce qui devait arriver arriva quelqu’un entre ouvra la porte et matait. Je bandais au max j’étais  excité comme une puce. Un quart de tour vers la droite la jambe gauche, tendu et en l’air la jambe droite  faisait un angle de plus 90° j’offrais au voyeur mon  postérieur qui, ouvert comme un livre faisait apparaitre ma pastille. Je fermais les yeux, souhaitant de tout cœur que la personne entre. La porte s’ouvrit lentement, mon cœur  battait de plus en +fort.je gardais mes yeux fermés et tendait ma croupe vers l’avant.  Des mains  se sont  posées sur chaque cuisse et  sot lentement remontées vers mon bas ventre. J’en avais la chair de poule . Arrivées sur mon sexe  la gauche me caressa les bourses et la droite saisit mon membre .puis d’un régulier  il me branla. Des gémissements sortirent de ma bouche  et je pense que cela lui donna de  l’assurance. <je vais t’enculer salope et tu vas aimer> il m’écarta les jambes, amena son visage a hauteur de mon abricot et me lécha mon anus. < Tu aimes ça la truie> je n’ai pas répondu mais fit un geste de la tête .il se releva, la j’ai ouvert les yeux je ne voulais pas me faire sodomiser sans capote.il devait avoir une trentaine d’année il était bien foutu .bien sur ce n’était pas un apollon mais il avait une belle queue qu’il était entrain d’habiller. <Tu es prêt> je lâchais  un oui. Il saisit mes jambes et les amena vers mon torse.mon cul automatiquement se souleva. Il pointa son sexe sur ma rondelle ; et d’un geste violent mais précis me pénétra. Des cris s’échappèrent de ma bouche. <arrêtes de hurler  salope >.il me défonça le cul  je sentais ses couilles contre mon cul .putain que j’aime ça .puis il se retira  me saisit la tête et amena ma bouche a la hauteur de son sexe. <nettoies salope bouffes ta merde >il enfonça son sexe dans ma bouche et ne bougea plus  .nettoies allez> je me suis exécuté  sa queue était en partie souillée par ma merde. Cela avait un gout bizarre. <Ça suffit  >il se retira me fit tourner les genoux sur la banquette les bras tendus il me prit en levrette .là je vous jure tout mon système pileux s’est hérissé  j’ai pris mon pied .et plusieurs fois .sentant qu’il allait jouir il se retira me fit tourner et engouffra dans ma bouche son sexe. <suce lave ma queue chienne >je  me suis exécuté sans me faire prier. Il se retira de ma bouche, ota la capote  se branla quelque secondes .puis lâcha sa semence sur mon visage .je ne bougeais plus  j’attendais la fin .puis il étala avec son gland son foutre  sur mes yeux ; mon front, ma bouche .il me regarda en remontant son pantalon  et dit <t’es une bonne salope > a la prochaine .en sortant de la cabine il dit a un collègue putain il a bouffé sa merde, et il a un cul méga ouvert. La porte étant ouverte la personne est  venue voir. J’étais assis les jambes écartées et le visage plein de foutre .puis il est parti en me disant la prochaine fois c’est moi .je me suis nettoyé  puis habillé j’étais heureux j’avais franchi une étape dans ma perversité .je me suis juré de revenir le plus rapidement.